Réception de l'hôtel haute en couleur
La séance va démarrer L’auberge fait son cinéma ! Sous sa marquise flamboyante, le Generator accueille ses hôtes avec humour, et avec une référence iconoclaste à Mondrian.
Coin pause lecture
On s’isole dans ce coin intimiste à l’ambiance rétro-industrielle. Lampe Angelpoise, chaise Lobster’s Day, guéridon Dare Studio.
Coin cantine au mur de lumière
Un mur de lumière cuivré (Tom Dixon) qui s’harmonise au mobilier en bois anime la cantine. L’effet est amplifié par la suspension en cuivre (Piet Hein Eek).
Pancarte "Paris, j'adore"
Un peu partout à travers l’auberge, des pancartes d’inspiration Art déco transforment la signalétique en un amusant jeu de pistes. La typographie a été créée par le designer britannique Alex Fowkes.
Une chambre au papier peint carreau ciment
Les chambres jouent la fonctionnalité. Seul le papier peint NLXL (Merci) réchauffe l’ensemble. Ici on dort, un point c’est tout.
Une entrée sophistiquée
Dans l’entrée, devant le mur en verre, d’origine, une installation combine des suspensions en macramé pour plantes (Lucille, de Llot Llov) et des tubes lumineux (Seletti). On s’assied sur ces bancs signés du Parisien Romain Guillet.
La cantine et ses banquettes
Une étable dans une ferme française : c’est ce qui a inspiré l’agence britannique Design Agency pour la vaste cantine. Avec ses lignes sobres, elle fait la part belle au bois et au métal.
Une chambre au mur de livres
Lampe Gras et papier peint trompe-l’œil (Mineheart) pour évoquer l’ambiance des bouquinistes des quais de Seine… et pour une nuit très “french touch”.
Coin repos à l'allure exotique
Que ce soit à Berlin, Barcelone ou Venise, chaque Generator se nourrit de l’atmosphère de la ville. Ici, dans le 10e arrondissement, c’est la diversité culturelle qui a inspiré à Design Agency pour l’immense espace “lounge”.