Si les propriétaires de petits appartements font plus souvent appel à Cyril Rheims pour optimiser la circulation des lieux, le propriétaire de celui-ci a fait appel à l’architecte non pas pour clarifier la circulation mais pour optimiser l’apport de lumière.

Cet appartement de 128 m2 installé dans une ancienne usine en fond de cour, manque cruellement de luminosité.

Mono-orienté, il ne bénéficie que de deux sources lumineuses : une verrière zénithale qui surplombe le salon et une frontale dans l’entrée. La problématique majeure de ce projet a donc été d’apporter de la lumière dans un maximum de pièce. A cette problématique venait aussi s’ajouter l’organisation de l’espace, plutôt atypique, composé de 3 niveaux avec la chambre parentale et la chambre d’enfant à l’étage supérieur, les pièces à vivre au rez-de-chaussée et la cuisine tout en longueur et une chambre d’amis semi-encaissées. Le souhait du client était aussi de trouver une solution pour connecter visuellement chacune des pièces afin de pouvoir avoir un œil sur sa petite fille où qu’elle soit dans l’appartement.

 

Des verrières de type atelier pour illuminer

Cyril Rheims a donc imaginé des verrières de type atelier d’artiste pour remplacer, en partie, les cloisons pleines de la cuisine et des chambres.

Ainsi, la cuisine, au niveau le plus bas, est cernée de verrières horizontales tout comme la chambre d’amis. La chambre de la petite fille, elle, s’apparente à un mirador depuis lequel chaque espace est visible. Les pièces intimes prennent toute leur intimité par un jeu de stores.

 

Grâce à cette configuration, chaque pièce bénéficie de la lumière naturelle tout en restant en contact avec la vie amicale et familiale.

Pour voir les réalisations de l'architecte : www.cyrilrheims.com