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L’entrée avant

Felipo Gonzales

Le décor de l’entrée a été allégé pour mieux mettre en valeur le patio verdoyant qui devient le véritable cœur de l’appartement.

 
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L’entrée après

Felipo Gonzales
Comme dans les autres pièces de l’appartement, les patines et les rideaux ont été supprimés dans cette entrée qui donne sur le patio par une grande porte-fenêtre. La lumière y entre maintenant à flots et offre une vue élargie sur ce coin de verdure.
 
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Le salon avant

Felipo Gonzales
L’ancien salon est devenu une salle à manger où l’on a remplacé les rayures sur les murs par une peinture rose poudré.
Le meuble de postier acheté sur un coup de foudre il y a 10 ans a été gardé. Sa masse noire redonne une certaine présence au décor qui risquait de basculer dans un côté mièvre avec son harmonie de blanc et de rose.
Quant à la bibliothèque, elle reste l’élément principal de cette pièce. Elle a juste été repeinte en blanc légèrement veiné pour qu’elle ressorte sur le mur rose pâle et les abats-jour des appliques ont été changés.

 
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Le salon après

Felipo Gonzales
Une grande table (rapportée de Santa Fe) remplace maintenant les canapés. Elle libère l’espace et crée un nouveau coin convivial dans la maison, pour les repas, les jeux en famille ou les devoirs du soir.
Les chaises qui étaient houssées de toile blanche ont été peintes en doré, ce qui fait oublier leur couleur acajou et souligne la rigueur de leur structure. La galette en velours taupe (D. Kieffer) donne du confort à l’assise.
Devant les fenêtres, plus de rideaux mais des stores à lamelles dont l’orientation est modulable : inclinées vers le haut en partie haute, elles laissent entrer la lumière et inclinées vers le bas en partie basse, elles protègent du regard des passants

 
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La salle à manger avant

Felipo Gonzales
A la place de la salle à manger, il y a maintenant un grand salon où l’on peut s’installer confortablement pour regarder la télé.
 
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La salle à manger après

Felipo Gonzales
Adieu les imprimés bariolés, place aux unis. Il a suffi de recouvrir les fauteuils (Christian Liaigre) d’un velours milleraies (D. Kieffer) pour leur donner une nouvelle élégance.
Comme dans la salle à manger attenante, des touches de noir rythment l’espace et constituent un lien visuel entre les deux pièces. Ce procédé permet de mieux intégrer l’écran plasma – qui répond aux coussins noirs et à la lampe laquée (Flos) dans le décor.
Un banc chiné dans une brocante dont l’assise a été habillé de cuir remplace le traditionnel meuble TV. Dessus se trouvent maintenant les lecteurs de CD et de DVD dont les raccordements électriques ont été élégamment encastrés dans le mur.
 
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La cuisine avant

Felipo Gonzales
La cuisine d’origine, très inspirée de la maison de Claude Monnet à Giverny avait été conçue dans un esprit campagne : sol en pierre à cabochons comme dans les cuisines d’autrefois, meubles en bois faits sur mesure, grosse cuisinière en fonte, timbre d’office et carreaux à damiers bleu et blanc (Carrelages du Marais) en guise de crédence.
 
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La cuisine après

Felipo Gonzales
Un coup de peinture gris a modernisé l’ensemble de façon spectaculaire, sans que l’on ait besoin de changer la structure de la pièce.
Autre touche contemporaine, la suspension en métal de style industriel fixée à la place d’un des spots encastrés dans le faux plafond.
Pour permettre une meilleure circulation, la table de cuisine a été remplacée par un bar haut sous lequel on peut glisser les tabourets. Ses lignes, plus rigoureuses, accompagnent le nouvel esprit du lieu.

 
Vidéo du jour
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Des tons poudrés

Felipo Gonzales
Les tapis en coco qui recouvraient le sol ont été supprimés au profit d’un parquet lazuré blanc qui réfléchit la lumière et éclaire la pièce.
La table basse récupérée dans l’ancien salon est un modèle en fer rouillé de Michèle Halard. Un coup de peinture dorée, la même que celles des chaises de la salle à manger, lui a donné un côté plus raffiné et plus précieux qui s’accorde mieux avec les tons poudrés de la pièce.
Passionnée d’art contemporain, la propriétaire a remplacé le tableau de Fiona Rae par des photos de l’artiste chinois Wang Quing Song dont le format long et étroit accentue le dessin épuré du canapé.
Seul investissement majeur dans cette pièce, le canapé d’angle signé Antonio Citterio (Maxalto) qui remplace le canapé anglais aux accoudoirs rebondis.

 
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Le patio avant

Felipo Gonzales
Le petit détail qui change tout : peindre les pots en terre cuite, dans lesquels les arbres ont poussé et qu’on n’a pas envie de rempoter, dans un beau marron foncé pour qu’ils se fondent dans le décor.
Pour que le patio ne se transforme pas la nuit en un trou noir derrière les fenêtres, on a judicieusement éclairé les arbres pour créer un paysage qui prolonge visuellement l’appartement.

 
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Le patio après

Felipo Gonzales
Pour rester dans l’esprit plus contemporain du reste de l’appartement, la table et les sièges en fer forgé et en bois on été troqués pour un modèle plus épuré signé Hugonnet.
Des canisses permettaient de se séparer des voisins et maintenant c’est un mur de verdure (Graines de Jardin) qui ferme l’espace et crée un fond verdoyant dans cette courette.
Pour pallier au manque de lumière, le plancher en lames de résine est plus approprié que les dalles en caillebotis d’iroko un peu sombre.

 

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